Ce que n’ose pas dire Waleed Al-Husseini

Comme à leur habitude un livre courageux.,  Waleed Al-Husseini, n’hésite pas à désigner le Coran et Mahomet comme responsables de la haine, de la violence et de l’archaïsme qui caractérisent  la religion islamique. Il considère que le mal gagne du terrain, non seulement depuis le 11 septembre, mais depuis la soi-disant révolution islamique d’Iran. Il a pu personnellement assister, en Cisjordanie, à la liesse des Palestiniens qui avaient publiquement fêté ce qu’ils considéraient comme une « victoire de l’islam » et il a pu constater que « pour les musulmans nourris à la haine depuis leur jeune âge,…, il suffit que l’un des leurs tue un mécréant au nom de l’islam pour qu’il soit érigé en héros, qu’ils donnent son nom aux nouveau-nés pour perpétuer sa glorieuse mémoire » (p. 27).

Et puis vint janvier 2015.  L’auteur était déjà admis comme réfugié en France. Il s’apprêtait à dédicacer son premier livre, Blasphémateur, une autobiographie où il relatait son combat pour le droit de critiquer et de moquer  l’islam. Patatras ! La rédaction de Charlie Hebdo venait d’être massacrée au nom d’Allah, soi-disant miséricordieux. Quelques jours plus tard, l’attaque de l’hyper-casher est venue confirmer à tout le monde, surtout à ceux qui ne voulaient pas voir la réalité en face, que les enseignements de l’islam engendraient des criminels qui n’avaient aucune considération, ni pour la liberté d’expression, ni pour les juifs. Depuis, d’autres tueries en France et en Europe, aux cris d’Allah-ou Akbar, nous confirment que la violence islamique est aveugle et n’épargne personne. Elle n’est, par conséquent, que pure barbarie. Et c’est à ces diverses occasions que notre auteur a pu constater que la terreur islamique produisait aussi une foule de lâches et d’hypocrites qui, bras-dessus, bras-dessous, avaient défilé à Paris, pour nous distribuer un somnifère dénommé « pas d’amalgame ! », complément indispensable à l’opium du peuple. Et que voit là notre réfugié ? Son geôlier-en-chef, Mahmoud Abbas, faisant partie de la pathétique photo de famille autour de Hollande. Waleed Al-Husseini s’est ainsi aperçu que la peur de dire la vérité sur l’islam avait gagné un peu plus d’esprits, prétendument progressistes. Et plus il devenait évident qu’il est impossible de vivre avec l’islam comme idéologie nourricière d’une partie de la population, plus le « vivre-ensemble » devenait un leitmotiv récurrent dans les discours de nos dirigeants et de nos intellectuels. C’est à se demander, comme le fait l’auteur, pourquoi tant de personnes avisées refusent « de reconnaître que le principal et presque unique vecteur du terrorisme est l’islam ? » (p. 51). Et l’auteur de nous questionner : « Jusqu’à quand devons-nous subir cette tromperie qui veut nous faire croire que « le terrorisme n’a pas de religion » ? ».
Je crois que la réponse à toutes ces questions est assez simple. Waleed Al-Husseini, pourtant si courageux sous d’autres cieux, n’ose pas la formuler clairement et distinctement. Cette peur au ventre et cette avancée inexorable et concomitante de l’islam continuera tant que nous n’aurons pas osé dire « STOP ! L’islam n’a pas sa place en France, il n’a pas sa place en Europe et il n’a pas sa place dans aucun pays qui aspire à la Liberté et à l’égalité entre TOUS ses citoyens ». Parce que l’islam c’est l’apartheid et c’est l’hégémonie du musulman qui se prend pour l’unique élu des Cieux sur terre. Cette conception suprématiste des êtres, où le musulman est au sommet de la hiérarchie, n’a débouché et ne débouchera que sur des conflits. En France, comme en Egypte et partout ailleurs dans le monde où on a fait une place à l’islam. Il nous faut être clairs avec les musulmanes et les musulmans et leur dire : « débarrassez-vous de votre vénération obséquieuse du Coran et de Mahomet, relevez la tête pour ne plus jamais inscrire la soumission dans le corps, l’espace et le temps ; fronts contre terre et derrières en l’air. L’ère de la Liberté est ouverte pour vous aussi ! Ayez le courage de sortir de vos quatorze siècles de soumission et d’esclavage, guidés que vous êtes par une idéologie mortifère qui vous fait aimer la mort et l’au-delà plus que la vie ici-bas, vie confraternelle à égalité avec le reste de l’humanité ! ». En un mot « Islam dégage !». C’est cela que l’ex-musulman Al-Husseini n’ose pas dire clairement aux musulmans de France et aux musulmans en France.
Waleed Al-Husseini
Waleed Al-Husseini 

Waleed Al-Husseini, comme nos candidats à la présidentielle, en est encore à invoquer  la laïcité et appelle ardemment à sa consolidation en France et à sa promotion dans les pays musulmans. On dirait que, lui non plus, il n’a pas compris que face à l’islam, la laïcité n’est d’aucun secours, même lorsqu’elle se croit protégée par l’armée turque. L’islam torpille des principes autrement plus fondamentaux : la Liberté, l’Egalité, la Fraternité et, avant cela, la Nation.  La laïcité est un espace de liberté tout à fait idéal pour l’islam dont l’armée des voilées annonce au grand jour, dans les rues de France, que ces dames n’ont d’amour dans leurs cœurs et dans leurs lits, que pour des musulmans ou pour des convertis bien circoncis. Mais notre auteur, comme tant d’autres idiots utiles à l’islam, n’a pas encore remarqué que les musulmanes en France jouissent des mêmes droits que les hommes et qu’elles ne sont plus des victimes, mais plutôt des soldates, que dis-je, des fers de lances et des porte-drapeaux de l’islam conquérant. Bien des féministes, des chercheurs, des politiciens ainsi que notre essayiste, n’ont pas encore changé de paradigme et ne comprennent pas encore le rôle crucial dévolu à la musulmane en France et en Europe pour torpiller la Nation. En vérité, la victime n’est pas toujours celle qu’on croit.
Oui, ce sont bel et bien les musulmanes en premier lieu, qui engendrent et éduquent les futures torpilles de la Nation au sens que lui a brillamment donné Ernest Renan. Nation qui n’a rien à voir avec la notion de « peuple juif », de « oumma » en islam ou d’ « éklésia » chez les chrétiens. Les communautés religieuses sont la préfiguration des fissures qui produiront les éclats et les débris de la Nation.
Relevons aussi que ce courageux réfugié Palestinien – qui a pourtant osé tenir tête aux autorités politiques et religieuses et aux pressions sociales et familiales dans son pays natal – n’ose pas désigner par leurs noms propres « Les collaborationnistes de l’islam radical » que le titre de son livre nous promet pourtant de dévoiler. Ceci nous renseigne sur l’ampleur des dégâts et sur le pouvoir de dissuasion acquis par les menaces d’être traîné devant la XVIIe chambre ! L’autocensure est ici intériorisée par notre ex-musulman et nouveau citoyen de la belle France qui fut le pays de la liberté d’expression et qui l’est de moins en moins. Les limites sont celles imposées par le politiquement correct.
Ce que les tortures et les geôles palestiniennes n’ont pas réussi à obtenir comme soumission, notre bien-pensance et notre pernicieux système judiciaire le réussissent ; sans coup férir et sans coup de fouet. Et voilà notre ami Waleed Al-Husseini qui ne livre qu’un seul nom : feu Michel Foucault, annonciateur de « La décadence des intellectuels français » (page 36). Tout au long du livre, vous ne relèverez donc que des entités assez larges comme  « La gauche », « certains politiciens », « de nombreux intellectuels », « l’élite française », « certains penseurs médiatisés et autres sociologues » etc. Aucun lèche-babouche n’est désigné par son nom !
Quant aux solutions de notre problème avec l’islam, dont les deux germes pathogènes sont le Coran et Mahomet, Waleed Al-Husseini nous recommande de renforcer la laïcité, cette ligne Maginot qui laisse la Nation, la Liberté, l’Egalité et la Fraternité totalement à découvert, le cul en l’air et le front par terre, si ce n’est toute la tête dans le sable. Il est pourtant évident qu’avec l’islam ça commence par la soumission de quelques personnes et ça finit, à plus ou moins brève échéance, par la soumission de tout le monde ! A chaque fois que nous commençons par accepter cette aliénation pour ses premières victimes-vecteurs-reproducteurs que sont les musulmanes et les musulmans, nous avalons les premières grosses couleuvres, puis nous finissons par boire notre honte et perdre notre âme au lieu de dire tout simplement « Non et non et non à l’islam ! ».
Non, cher Waleed, nous ne pouvons admettre que le Coran et Mahomet continuent d’humilier tant de personnes devant nos yeux et près de chez-nous, à commencer par nos parents respectifs, à toi et à moi. A la mémoire de Cabu et de toute la rédaction de Charlie Hebdo, je m’imagine qu’une solution : débarrasser l’humanité de ces deux germes pathogènes que sont le Coran et Mahomet. Il nous faut tout faire pour les renvoyer aux oubliettes de l’histoire pour en émanciper les musulmanes et les musulmans et, par conséquent, la planète tout entière.
Voilà ma proposition de solution qui ne se contente pas d’invoquer inutilement le principe secondaire de Laïcité.

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