Le quotidien Libération arrive tout de même à nous étonner. En effet,
ce journal a ouvert ses colonnes à une tribune tout à fait percutante de Waleed Al-Husseini, fondateur du Conseil des Ex-Musulmans de France (CEMF). Il est aussi l’auteur du livre Blasphémateur !
Même si le titre de la tribune ne
s’accorde pas tout à fait avec son contenu, nous ne pouvons que
féliciter la rédaction de Libération d’avoir accepté que l’on énonce et
dénonce l’incompatibilité de l’islam avec les principes fondateurs de la
République et le creuset de fusion que la Nation française a toujours
été. Dans cette tribune, Waleed Al-Husseini démontre avec une
exceptionnelle économie de mots, que l’islam (que confessent et
pratiquent tous les musulmans) a de sérieux problèmes avec :
– la Liberté, surtout de conscience et la liberté de critiquer ou de caricaturer Mahomet
– la Liberté d’épouser qui on aime quand on est musulmane,
– l’Egalité entre les êtres humains
qu’ils soient croyants ou non croyants. C’est cet apartheid islamique
qui fait que, justement, la musulmane a, de tout temps, réservé son
coeur et sa couche aux seuls musulmans et aux convertis, soumis et bien
circoncis. C’est la ségrégation islamique que jamais un dignitaire
musulman n’a dénoncée ou remise en question.
– la Fraternité entre les êtres humains
indépendamment de leurs confessions ou convictions. L’auteur demande aux
musulmans et tout particulièrement à leurs représentants de dénoncer et
de renoncer aux versets coraniques qui n’ont aucun respect ni pour les
juifs, ni pour les chrétiens, ni pour les non-musulmans.
Mais voilà que Libération tout autant
que Marine Le Pen et tous nos idiots utiles à l’islam continuent de
répéter « Laïcité, laïcité ! » sans se rendre compte que la musulmane,
surtout voilée, n’a jamais eu d’amour pour les non-musulmans.
Comment voulez-vous donc bâtir un
vivre-ensemble et un mourir-ensemble avec ce type de profession de foi
et de pratique asociale ?
Bravo au courageux blasphémateur Waleed
Al-Husseini, qui a su expliquer en si peu de mots ce que nous avons
tellement répété ici.
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