Soutien à Waleed-Al-Husseini

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Il est évident que l’islam voue un immense respect à son prochain et lui fait automatiquement crédit de sa bonne volonté. 
Cependant que nous jetons un œil sur les vénérables documents constitutifs de notre République, nous nous rendons compte qu’ils ne valent rien, absolument rien, face à un coran qui ne saurait souffrir la moindre opposition.
Cela ne nous pose naturellement aucun problème ; l’édifice France est solide et qu’importe si nous glissons sur nos trottoirs sur le sang que des barbares viennent – regrettablement – de faire couler : l’ambiance est parfaitement détendue, chacun le sait…
Que de prostitution ! Que de paradis artificiels ! Que de cocottes médiatiques !
Regardez nous, regardez vous : nous en sommes à flirter avec l’ironie !
L’islam s’est fixé comme objectif de rendre responsable du sang versé, de tous les sangs versés, les citoyens français – tous les citoyens français – en se prétendant destiné à nous faire progresser dans tous les champs de la vie politique et sociale. Par philanthropie, très officiellement, sans aucune arrière-pensée liée à une aventure politique, ou alors, remarquablement, et – n’hésitons pas à le dire – même de façon idéale, en proposant un parti des musulmans de France !
Cela pose, en définitive, bien des questions.
Après tout, est-ce bien notre mission d’assurer la nécessité de la pérennité d’une patrie républicaine ? Ne devrions-nous pas immédiatement reconnaître les mérites de l’islam ? Difficile ? Faut-il vraiment être « un salaud » pour faire remarquer qu’un footballeur – qui s’affiche musulman – minaudant à l’idée de chanter « La Marseillaise » en France, devient un exemple entrainant moult joies quand une équipe de foot du Maghreb, victorieuse, regroupe des populations qui brandissent, étrangement, des drapeaux à croissant ? Faut-il s’inquiéter des prières de rue ? De l’oppression de la femme ?
Que l’islam soit béni pour ses idées nouvelles… qui remplissent nos cimetières des cadavres de nos enfants.
Avec l’islam l’échange intellectuel est-il inconditionnel ? Certainement et Waleed al-Husseini en sait quelque chose… pourtant, curieusement, la manière d’enseigner qu’à l’islam – une « noble » manière qui consiste à torturer le mécréant pour s’assurer qu’il réagit bien à quelque chose – permet de juger de ce que sont les musulmans : des hommes certes, mais avant tout, se manifestant comme des psychopathes politico-religieux qui refusent la communion intellectuelle ; des aliénés politico-religieux (?) plus que des « déséquilibrés » ! Si c’est ainsi que la moralité de l’islam subsiste, de son point de vue de singe criard se tenant à nos pieds en nous défiant, allons nous rester dans notre béance ?!
Prenez-en conscience : nous sommes plus hauts et plus forts que ce petit singe criard. Tout individu – éclairé ou pas ! – comprendra facilement la nécessité qu’il a d’écraser une telle bête d’un coup de talon. Sans chercher la manoeuvre d’un pouce.
Hélas, il se trouve qu’on nous demande de nous évanouir en nous expliquant comment nous devrions nous sentir « bien » dans cet « Etat » ; l’islam ne serait, au fond, qu’une ligue vertueuse à assimiler.
Il y a tension : on nous demande de vivre comme si nous étions morts.
Nous avions un rêve : c’était la République !

Waleed AL-Husseini | Livre

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Ce rêve, nous l’avons toujours.

La vie a t’elle cessé en France ? Certes, nous avons le droit d’aller et venir, de manger. Plus ou moins d’ailleurs ; poulet industriel pour les uns, caviar à la louche pour d’autres…

Amis ! Frères ! Soeurs ! Compatriotes ! On tente de nous retirer notre énergie républicaine alors que notre République est l’incarnation de l’énergie. Cette énergie s’est retirée en nous mêmes et c’est bien un idéal que la République ; cet idéal pourrait être atteint si nous étions en vie ! Nous ne l’atteignons que très approximativement : alors que nous sommes des géants, on nous demande de vivre en-dessous de nous-mêmes et nous demeurons face à ce miroir fumé que l’on nous tend, pour que nous n’écrasions pas ce petit singe criard à nos pieds.

Il est bas et faible. Il est méchant. Il est sale. Il est malade.
Il contamine déjà les musulmans de France.
Il est une infection psychique pour tous.
Ce petit singe arbitraire se croit un point de vue supérieur. Devant nous, nous qui sommes Wagner, Goethe, nous qui sommes la Révolution Française, nous qui sommes des millénaires de matière agissante – car tel est notre cerveau : matière agissante – nous qui sommes conscience – oui, nous qui sommes conscience ! – nous qui sommes en route vers l’Universel ! Nous, nous qui sommes la France, on nous oblige à tolérer cette saleté-là !
Le miroir fumé que l’on nous tend nous empêche d’agir… mais les images qu’il projette, en définitive, ne sont que des images, pas de la matière.
Nous allons briser ce miroir.
Amis ! Frères ! Soeurs ! Compatriotes ! Nous allons écraser – d’un coup de talon vigoureux – ce petit singe infect !
Sept ans de malheur pour l’islam ?
Cela ne dépend pas de nous, mais des musulmans eux-mêmes. Il y a en eux – en 2018 après Jésus-Christ, il n’est point d’autre datation sur nos terres – un petit village qui n’est pas occupé par les fascistes islamiques. Un petit village peuplé de « sain(t)s » musulmans au bon comportement avec les « incroyants », alors que dans nos villes d’irréductibles ex-musulmans résistent encore et toujours à l’envahisseur… et la vie n’est pas facile pour ces ex-musulmans là.
Amis ! Frères ! Soeurs ! Compatriotes ! L’hiver arrive. Il va être terrible… d’autant que Waleed al-Husseini est sorti du pays des morts : il peut nous apporter l’immortalité. A nous et à notre République.
Il est aujourd’hui réfugié en France, sous protection policière, après avoir été torturé dans les geôles palestiniennes pour athéisme.


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